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Un comité citoyen protestant contre les violences sexuelles dans le milieu théâtral de Gwangju a tenu une conférence de presse devant la Cour d’appel de Gwangju, appelant les juges d’appel à rendre un verdict juste. Le groupe a salué la juridiction de première instance pour avoir accepté le journal intime, les notes et les dossiers médicaux de la victime comme preuves et pour avoir reconnu que le trouble de stress post-traumatique (TSPT) de la victime était lié aux agressions sexuelles présumées — un précédent juridique important. Ils ont exhorté la cour d’appel à confirmer les conclusions du tribunal inférieur afin de restaurer la dignité de la victime, prévenir la distorsion et les dommages secondaires, et établir une norme judiciaire équitable pour les affaires de violences sexuelles. Le prévenu, un directeur de compagnie théâtrale accusé d’avoir abusé de son pouvoir pour agresser sexuellement des actrices pendant plusieurs années depuis 2012, a été condamné à trois ans de prison en première instance et a interjeté appel, soutenant que le TSPT des victimes n’est pas lié à ses actes.